Description du personnage

Le caractère de Côme ? Le physique de Côme ? (Une joueuse qui cherche à atteindre rapidement les 10 lignes ? QUE NENNI.) Et bien disons que Côme a un physique qui ressemble à son mental. Côme, il a une bonne bouille (et parfois une MOUSTACHE qui ferait palir les plus vieilles des sorcières style Holga, mais pas par jalousie, plus parce que c'est ridicule) et ça se voit qu'il est la réincarnation d'un bisounours. Un peu renfermé, un peu timide, mais toujours avec un sourire bienveillant et soucieux de la santé des élèves. Et en plus il a des poils. Plein de poils! Il a la flemme de se raser souvent et cette barbasse aussi brune et touffue que ses cheveux est souvent là. Donc niveau physique de bisounours ou de nounours, ça en rajoute pas mal! A ça, ajoutons un petit beudon parce que, clairement, encore une fois, aussi bien physiquement que mentalement, il est gourmand! Et vous ne lui enleverez pas ses viennoiseries faites maison et ses 56 morceaux de sucre dans son thé quotidien. C'est qu'à plus de 30ans, a passer d'une vie ou il courrait à gauche et à droite dans l'hopital St Mangouste, à juste flaner et attendre qu'un élève se casse la gueule de son balai ou se prenne une giclure de bave de crapaudbuffle, y a une différence d'exercice! Exit les stéréotypes des BG 30enaires musclés. ... Et puis, Côme, il s'en fiche pas mal en fait, il est comme il est, sait qu'il a de belles valeurs et est une bonne personne, donc il ne se rend pas pâle face à son physique lambda. Et son côté jemenfoutiste un peu, il se voit à travers ses vêtements (qui sont heureusement cachés par sa blouse d'infirmier) et dans sa barbe, avec ses petites miettes. (C'est cool les réserves!) Bref, tout ça pour dire, Côme, il a la bonne bouille du bon vivant calme, prêt à aider et écouter beaucoup de personnes, le genre de personnes à qui on aime bien parler de sa vie. Et en général, il est bien apprécié, peut-être un peu trop, il n'a pas vraiment de temps pour lui mais... Il s'en fiche au final, c'est pas cmme si quelqu'un l'attendait, hein.

Histoire
C'est en France que Côme est venu au monde... Mais ce fut également le pays de naissance de l'amour de ses parents. C'est en effet à travers ses études à Beauxbatons que Sunar Shaanadaar, jeune indien (et futur père de Côme) venant de Dispur, la capitale d'Assam en Inde, fit la connaissance de Sofie Royer. Dans la même année d'études et dans la même maison, ce fut à deux qu'ils traversèrent les années et qu'ils obtinrent leurs diplomes, aussi amoureux qu'aux premiers moments de leur couple. Quelques années plus tard naquit Côme.

Jolie petite bouille attentive et curieuse, ce fut non sans grande surprise que les pouvoirs de leur enfant se dévoilèrent aux alentours de ses 9ans. C'était venu tardivement mais au final, ça allait bien avec le caractère de l'enfant, qui avançait à son rythme, patiemment et jamais sans décevoir ses parents. Fils unique, il put grandir dans une famille moyenne, ne manquant de rien et certainement pas d'un foyer aimant. A Beauxbatons, ce fut sans surprise qu'il intégra la maison de ses parents, partageant leurs valeurs comme la générosité, la passion, la détermination et une curiosité folle.

Egal à lui-même, Côme prit son temps à travers ses études. Redoublant une année, prenant une année sabbatique à la fin de sa scolarité à Beaux-Batons, il rendit sceptique beaucoup de monde de son entourage lorsqu'il se dirigea... Dans les études de Médicomage. Et comme tout sait venir à qui sait attendre... (et en devant se sortir plusieurs fois la baguette de son fourreau, disons-le) Côme décrocha son diplome. ... Avec 4 années de plus par rapport à l'âge moyen des autres guérisseurs. Mais il s'en fichait de ça, il avait réussi, sa détermination l'avait aidé, en y allant à son rythme, comme d'habitude.

Aimant le voyage, raffolant de l'études de nouvelles langues et curieux de tout, ce ne fut pas une surprise lorsque, après avoir fait ses études en Espagne, ce fut en Angleterre qu'il chercha un poste de Medicomage. Un véritable courant d'air ce Côme, mais qui laissait souvent sur son passage l'agréable souvenir d'un homme posé et souriant, offrant toujours son aide et ses bonnes intentions. Bercé par une famille traditionnelle, il ne fallut attendre qu'une année ou deux après son arrivée à St Mangouste pour qu'il ne rêve désormais de se poser pour fonder une famille. Après tout, il avait son diplome, un emploi fixe... Et... une petite amie en or, avec qui il était depuis 6 mois, vous imaginez ?!

Mais non. Ce fut un refus catégorique. Pas d'enfants. S'étant toujours vu papa et raffolant des enfants, ce fut dur pour lui et... Leur couple ne tint pas le coup face à cette différence d''envie. Retour à zéro. Une rencontre. Un flirt. Une petite amie. De la stabilité. La question fatidique... Nouvel échec. Une autre rencontre. un second flirt. Une petite amie. La question fatidique. Encore un refus. Une enième rencontre. Qui ne menera à rien. Un Xème flirt. La question. (Parce qu'à force, autant poser ça dès le 1er rendez-vous... Côme était passionnel, oui, et du genre à foncer... A force de se faire briser le coeur, il préférait faire comprendre dès le départ son envie de foncer une famille... Peut-être s'y prenait-il mal, peut-être que ces femmes n'étaient pas celles avec qui il devait passer sa vie... Puis il y eut Julia.

Une magnifique petite moldue qui travaillait dans la Boulangerie à côté de St Mangouste. Fûtée, et vivant H24 à côté, mettre le grapin sur un sorcier fut la dernière étape avant qu'elle ne soit sûre de l'existence de la magie dans le monde. Et ça ne l'effraya pas. Au contraire. Et puis, ça ajoutait un petit côté sexy à ce barbu... A qui elle ne cessait de vendre le plus gros de ses pains au chocolat à chaque fois qu'il venait dans sa boutique, sans qu'il ne comprenne la drague derrière ses nombreuses secondes à choisir la plus parfaite des viennoiseries... Il fallait être aveugle bon sang!

Se sentant retourner dans une aventure amoureuse, Côme prit les devants avec la question fatidique et... Ce fut un oui. Pas pour un mariage. Mais pour l'envie d'être parent. Le plus beau oui de sa vie. Pourtant, conscient du sérieux d'un tel projet, le nouveau petit couple préféra attendre de passer des semaines, des mois, et d'autres objectifs aussi comme la vie commune. Et ça allait. Tout était parfait. Après plus de deux années à peaufiner le début de leur splendide début de famille, et après un aménagement en France, Côme et Julia débutèrent le projet bébé.

Mais rien. Après des mois, encore, d'attente, de fausses joies, de nausées provenant de virus et non suite à l'arrivée d'un squatteur dans le ventre de sa fiancée, il n'y avait rien. Bien des tests plus tard, la medecine conclura : Côme était stérile. Le coup fut dur à avaler mais... Ils allaient se relever et passer à l'adoption! Ca semblait si... facile ? Et évident pour Côme! Entamant le projet d'adoption, l'homme frôlant la trentaine sentait encore ses ailes poussées dans son dos. Il était motivé, ils allaient arriver à être parents, et ça serait génial! Ils n'avaient qu'à attendre bien sagement, Julia dans sa propre boulangerie et Côme, à BeauxBatons, préférant au final être baigné par les adolescents en école plutôt que par la maladie en hopital...

Vous la voyez arriver, la fin de cette belle idylle ? Sans prévenir, après un bref et dernier échange, Julia quitta Côme, laissant un infirmier au coeur brisé. Elle laissa derrière aile un coeur en guimauve fondu. Mais ça n'était pas grave! Il y avait encore son dossier d'adoption en cours! Dont il fallut éditer certains détails, mettant juste à jour le statut du parent 1 et... la disparition du parent 2. Il s'y accrocha le Côme, poursuivant son boulot, se donnant du baume au coeur, profitant de son statut à Beaux-batons pour oublier l'actuelle absence de son enfant. Après tout, il était entouré d'élèves qui l'adoraient et qui le soutenaient! Il serait un formidable papa, ça, beaucoup des étudiants le lui répétait.

Cependant, comme dans la poursuite d'une chute vertigineuse, Côme continua à voir sa vie lui échapper. Désormais mono-parental (et peut-être... pour d'autres raisons ?), son dossier fut rejeté. Il devait recommencer à zéro. Et attendre. Encore. L'homme perdit tout courage face à cette injustice. Il n'eut même pas la force de relancer son projet. Un homme comme lui et seul, à quoi bon ? Se plongeant davantage dans son travail, ce fut certainement la pire année de sa vie. L'étincelle n'était plus là. Ni celle qui était censée briller au dessus d'un enfant à aimer et choyer, ni celle qui brillait face à un nouveau flirt. Trop de claques dans sa vie, Côme se laissa plusieurs mois pour se laisser tranquille. Vivre sans objectif, ça pouvait être... Reposant, des fois, non ? Peut-être pas. Non, en fait, ce ne fut pas du tout le cas pour Côme qui avait constamment besoin de cette étincelle.

Il mit du temps mais... Finalement, Côme arriva à se remettre en selle. Il devait se remotiver et ça irait mieux. Il n'avait qu'à se concentrer sur l'adoption d'un enfant dans un pays étranger. Tout semblait beaucoup plus simple qu'en France quand ça concernait l'adoption. Etudiant les différents pays et ses différentes lois, son projet le fixa sur... Les Etats-Unis. Peu interessé par la politique en général, l'homme qui se tenait assez souvent loin des médias découvrit l'envers du décor du monde magique américain. Avec sa loi Rappaport... Qui arracha autant le coeur du sorcier... Qu'il ne lui fournit l'énergie pour y emménager. Loin d'approuver cette loi instaurée depuis 3ans déjà (à cette époque), Côme y vit cependant l'opportunité d'adopter tout en offrant une famille à un ou plusieurs malheureux nés-moldus. Ou nés-non-maj, comme disent les américains... Après tout, si la loi était là depuis 3 années déjà...

Cela fait désormais une année complète que Côme s'est installé à Ilvermorny en tant qu'infirmier de l'école. Son accent franco-british fait plutôt bien rire (surtout quand il s'agace tout seul) mais sa bonne humeur et sa bienveillance donnent bien plus l'occasion de sourire...